Lors de notre assemblée générale du 10 aout dernier ,le problème de la sécurité routière de l'avenue de Bordeaux avait été évoqué auprès du Maire de notre commune.
Pour ce faire, il avait mandaté Mr Brauge , conseiller municipal spécial du Cap Ferret, pour recevoir une délégation de riverains de cette avenue.
La rencontre a eu lieu le 20 Aout à la mairie annexe, la lettre ci dessous lui a été remise:
Pour ce faire, il avait mandaté Mr Brauge , conseiller municipal spécial du Cap Ferret, pour recevoir une délégation de riverains de cette avenue.
La rencontre a eu lieu le 20 Aout à la mairie annexe, la lettre ci dessous lui a été remise:
Sécurité des piétons, avec ou sans voitures d’enfants, personnes à mobilité réduite Avenue de Bordeaux au Cap Ferret
1 Les constats
Les déplacements sur les trottoirs de l’avenue de Bordeaux présentent régulièrement des situations de danger pour ceux qui les empruntent et cela en haute (juillet-aout) comme en basse saison.
A cela, deux raisons principales :
- La vitesse parfois excessive (supérieure à 50 km/h) ; l’hiver ce sont souvent des véhicules de professionnels camions et camionnettes qui roulent au-delà des limites (“à tombeau ouvert “), l’été des vacanciers, tout à l’enthousiasme de leurs vacances se sentent libérés de toutes contraintes (l’alcool aidant parfois !).
- L’occupation anarchique des trottoirs ne laissant pas de passage de déplacement soit par un stationnement des véhicules , soit par une occupation physique (dénivelés d’entrée de propriété, entreposage de matériaux, machines,…) sans tenir compte de condition de sécurité pour les piétons( visibilité pour les voitures circulant) ; Cette occupation excessive des trottoirs contraint les piétons (avec poussette, poussant un vélo, tirant un caddie de courses, tenant des enfants en bas âge par la main, poussant un fauteuil d’handicapé ,;…) à emprunter la chaussée.2 Quelles solutions envisager ?Rappel :Pour l’avoir déjà évoqué avec Monsieur le Maire, l’avenue de Bordeaux n’étant pas une voirie municipale mais départementale, celui-ci nous a indiqué qu’il lui était difficile d’intervenir directement sur cette dernière. Cependant, le premier magistrat de la ville a les moyens de faire pression sur les services du département, surtout si leur responsabilité en matière de sécurité est également engagée.
Le danger encourus par les personnes se situe bien sur le territoire de la commune dont il a la responsabilité. L’accès aux handicapés nécessite de leur permettre de pouvoir se déplacer sans danger.
Des propositions :
- Dans un premier temps, ne nécessitant pas d’investissements lourds autre que communication et information règlementaire :
- Rappel des limitations de vitesses et davantage de contrôles de vitesse inopinés (radar mobile) – qui ont une vertu pédagogique !!! – il semble d’ailleurs qu’il y ait davantage d’excès de vitesse l’hiver que l’été (en proportion du nombre de véhicules circulant).
- Limiter pendant la haute saison les secteurs les plus accidentogenes par l’ajout temporaire de panneaux de limitation 30 (comme avenue du Sémaphore ou avenue de la Marne).
- Rappeler aux riverains (par tractage dans les boîtes aux lettres et articles dans la revue municipale) disposant de places de stationnement dans leur propriété (obligatoires dans les permis de construire) de garer leur véhicule à l’intérieur plutôt que sur le domaine public.
- Mettre en place un stationnement règlementé sur les trottoirs :
- Lorsque ceux-ci sont assez larges, garer le véhicule en limite de chaussée ou près des clôtures pour ménager un passage (largeur un mètre – quelle est la règlementation pour handicapés ?).
- Sinon ne se garer que d’un côté de l’avenue (stationnement alterné ou non )
- faire supprimer les “embûches“ dénivelés dangereux,
- n’autoriser l’entreposage temporaire sur les dits trottoirs que lorsqu’ils sont nécessaires, et en obligeant à mettre en place un dispositif de passage sécurisé pour les piétons (par exemple : règlementation travaux et occupation de l’espace public).
Ces actions de communication seront à renouveler régulièrement – rappels de sensibilisation à la sécurité –
- Dans un second temps, si les mesures précédentes sont insuffisantes, réglementer davantage :
- Limitation de vitesses sur les tronçons les plus dangereux par dispositifs physiques – chicanes, dos d’âne,
- Interdiction de stationner sur certaines parties de trottoirs (l’arrêt - dépose restant autorisé.
- Aménagements d’amélioration :
- de déplacements doux par création de pistes cyclable mixte piétons vélos comme il s’en est créé dernièrement.
L’aménagement de pistes cyclables complémentaires dans les parties urbanisées du Cap ferret se révèle maintenant plus nécessaire :
- par exemple entre le bourg du Canon et la piste à hauteur de la dune de l’Herbe,
- établir une liaison cyclable au niveau des “Sables d’or“ pour indiquer et permettre aux cyclistes d’aller sur la piste en forêt.
- Mise en place de séparateurs physiques sur les trottoirs (poteaux comme rue des goélands) pour les piétons.
F. TROLY 101 ter avenue de Bordeaux 06 07 68 40 60 ; mcarolinetroly@voila.fr
Danielle et Joël Mellet 80 avenue de Bordeaux 06 15 74 95 72 ; joelmellet@orange.fr
Pour ce faire, il avait mandaté Mr Brauge , conseiller municipal spécial du Cap Ferret, pour recevoir une délégation de riverains de cette avenue.
La rencontre a eu lieu le 20 Aout à la mairie annexe, la lettre ci dessous lui a été remise:
Sécurité des piétons, avec ou sans voitures d’enfants, personnes à mobilité réduite Avenue de Bordeaux au Cap Ferret
1 Les constats
Les déplacements sur les trottoirs de l’avenue de Bordeaux présentent régulièrement des situations de danger pour ceux qui les empruntent et cela en haute (juillet-aout) comme en basse saison.
A cela, deux raisons principales :
- La vitesse parfois excessive (supérieure à 50 km/h) ; l’hiver ce sont souvent des véhicules de professionnels camions et camionnettes qui roulent au-delà des limites (“à tombeau ouvert “), l’été des vacanciers, tout à l’enthousiasme de leurs vacances se sentent libérés de toutes contraintes (l’alcool aidant parfois !).
- L’occupation anarchique des trottoirs ne laissant pas de passage de déplacement soit par un stationnement des véhicules , soit par une occupation physique (dénivelés d’entrée de propriété, entreposage de matériaux, machines,…) sans tenir compte de condition de sécurité pour les piétons( visibilité pour les voitures circulant) ; Cette occupation excessive des trottoirs contraint les piétons (avec poussette, poussant un vélo, tirant un caddie de courses, tenant des enfants en bas âge par la main, poussant un fauteuil d’handicapé ,;…) à emprunter la chaussée.2 Quelles solutions envisager ?Rappel :Pour l’avoir déjà évoqué avec Monsieur le Maire, l’avenue de Bordeaux n’étant pas une voirie municipale mais départementale, celui-ci nous a indiqué qu’il lui était difficile d’intervenir directement sur cette dernière. Cependant, le premier magistrat de la ville a les moyens de faire pression sur les services du département, surtout si leur responsabilité en matière de sécurité est également engagée.
Le danger encourus par les personnes se situe bien sur le territoire de la commune dont il a la responsabilité. L’accès aux handicapés nécessite de leur permettre de pouvoir se déplacer sans danger.
Des propositions :
- Dans un premier temps, ne nécessitant pas d’investissements lourds autre que communication et information règlementaire :
- Rappel des limitations de vitesses et davantage de contrôles de vitesse inopinés (radar mobile) – qui ont une vertu pédagogique !!! – il semble d’ailleurs qu’il y ait davantage d’excès de vitesse l’hiver que l’été (en proportion du nombre de véhicules circulant).
- Limiter pendant la haute saison les secteurs les plus accidentogenes par l’ajout temporaire de panneaux de limitation 30 (comme avenue du Sémaphore ou avenue de la Marne).
- Rappeler aux riverains (par tractage dans les boîtes aux lettres et articles dans la revue municipale) disposant de places de stationnement dans leur propriété (obligatoires dans les permis de construire) de garer leur véhicule à l’intérieur plutôt que sur le domaine public.
- Mettre en place un stationnement règlementé sur les trottoirs :
- Lorsque ceux-ci sont assez larges, garer le véhicule en limite de chaussée ou près des clôtures pour ménager un passage (largeur un mètre – quelle est la règlementation pour handicapés ?).
- Sinon ne se garer que d’un côté de l’avenue (stationnement alterné ou non )
- faire supprimer les “embûches“ dénivelés dangereux,
- n’autoriser l’entreposage temporaire sur les dits trottoirs que lorsqu’ils sont nécessaires, et en obligeant à mettre en place un dispositif de passage sécurisé pour les piétons (par exemple : règlementation travaux et occupation de l’espace public).
Ces actions de communication seront à renouveler régulièrement – rappels de sensibilisation à la sécurité –
- Dans un second temps, si les mesures précédentes sont insuffisantes, réglementer davantage :
- Limitation de vitesses sur les tronçons les plus dangereux par dispositifs physiques – chicanes, dos d’âne,
- Interdiction de stationner sur certaines parties de trottoirs (l’arrêt - dépose restant autorisé.
- Aménagements d’amélioration :
- de déplacements doux par création de pistes cyclable mixte piétons vélos comme il s’en est créé dernièrement.
L’aménagement de pistes cyclables complémentaires dans les parties urbanisées du Cap ferret se révèle maintenant plus nécessaire :
- par exemple entre le bourg du Canon et la piste à hauteur de la dune de l’Herbe,
- établir une liaison cyclable au niveau des “Sables d’or“ pour indiquer et permettre aux cyclistes d’aller sur la piste en forêt.
- Mise en place de séparateurs physiques sur les trottoirs (poteaux comme rue des goélands) pour les piétons.
F. TROLY 101 ter avenue de Bordeaux 06 07 68 40 60 ; mcarolinetroly@voila.fr
Danielle et Joël Mellet 80 avenue de Bordeaux 06 15 74 95 72 ; joelmellet@orange.fr
No comments:
Post a Comment