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Restaurant in the provinces: Mozhaysk


Great, modest little restaurant-bar in Mozhaysk, 130 kms south west of Moscow. Three lovely courses, simple and delicious Russian food, salad, soup(borscht) and fried fish or pork and mash with dill, plus tea or coffee, for only 230 roubles($8.50 approx)

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Restaurants in Moscow: Georgian

Mama Zoya Kafe, near Novodevichy monastery, a great Georgian restaurant, fragrant soups, tasty meat courses, nice khachapuri filled pastries!




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Ukrainian delicacy in Moscow--salo and marinated herring


Went to a lovely Ukrainian restaurant not far from the Tretiakov gallery today, a late lunch or early dinner, I'm not sure which but we had some typically Ukrainian delicacies including one I'd heard about in the Russian Accelerator course I did before coming here, 'salo' or pig fat(yes, literally) cured and cut in thin slices, sometimes also peppered, sometimes also sold as a kind of potted paste. It's a bit of an acquired taste but wasn't quite as sickening as I'd thought it might be--in fact for my taste the potted stuff was nicer, but the peppered slices were quite good, in a small dose washed down with a good dose of delicious berry-flavoured or honey-pepper Ukrainian vodka! Great rib-sticker for those bitterly cold winters I imagine.
The marinated herrings were delicious here too.
Here's a link to a page on how to make salo:

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Correspondances CEBA

Ci dessous les correspondances de la CEBA dont PALCF fait partie,adressées au Préfet de la région Aquitaine et au directeur de la SMURFIT
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Red Robyn Cafe and Ten Year Vegan Anniversary

I came back from semi blogging retirement to tell you two things.

First: I've been vegan for 10 years!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

I don't really remember what month it was but suspect it was some time between June and August. I still remember family members telling me it was a stage that I was going through. Remember, mum? I think i've changed a lot over those years though in the beginning I was so passionate that I wanted to tell everyone, would happily engage in conversations/arguments whereas now I've become somewhat non confrontational in fact loads of people in my life don't even know, particularly colleagues. I'm also trying to move away from eating vegan junk food and move to healthier wholefoods.

Second:

There is a relatively new gluten free cafe called Red Robyn which I adore. I've been twice now. It's an omni gluten free cafe but caters really well to vegans. Often vegetarian places like chinese vegetarian restaurants do not cater at all for coeliacs and gluten free cafes don't cater for vegans. So Red Robyn makes my heart sing!

The first time I went, I had the sweet potato rosti with smoky beans and avocado which I loved. Yesterday when I went I got the curried lentil pot pie with chickpea chips. The pastry on top of the lentil pot pie was great for gf pastry which is no easy feat. The lenil curry was surprisingly good with a coconut base and the chicpeas fries were amazing. I need to try to make these at home.




Then it was DONUT TIME, I got a custard donut. Yes a vegan and gluten free custard donut! I should have taken an inside shot but I was too excited. The donut part was quite similar to a regular donut but it needed more custard. Last time I went I got a vanilla slice which was awesome. I also have a jam donut in my fridge waiting for me to eat after dinner tonight and I had some yoyos last night. The yoyos are ok but perhaps too sweet, but I don't think i've ever been a yoyo fan.


It's quite a quitea cute cafe too, I loved these features:


They have lots of other awesome things that I want to try like too like the vegan and gluten free pancakes! The customer service is great and they cater well to other intolerances too like fructose malabsorption. Toby said that the coffee is actually pretty good and they have rice milk, as well as soy milk available. Both times I went with people who can eat gluten like Toby, Michael and Erin and they all enjoyed their meals. My only complaint is that its not super close to my house but so worth the drive!

Red Robyn Cafe & Restaurant
393 Camberwell Rd
Camberwell
9077 3763

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Simple Russian meal


 As we're staying in an apartment in Moscow rather than a hotel, we can cook for ourselves as well, using the excellent local produce. Here's something I cooked up the other night--pork chops with red currant sauce and dill, with pan-fried forest mushrooms, preceded by a simple, delicious entree of red caviar, Siberian vodka and black bread! 
The mushrooms I simply cooked in butter, adding a small splash of vodka, plus salt and pepper. The pork chops were also gently fried in a little butter till coloured on both sides, then I added the red currants in a sweet-sour juice(which I bought from the markets)salt, and chopped up dill, then cooked till pork is done. We had it with a little mashed potato as well. Deliciously simple!

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Russian cornucopia




I was really impressed by Russian produce the last time I was there, two years ago; now, two years later, back in Moscow and renting a flat for 2 weeks, I've had even more of a chance to explore Russian culinary delights. Here I'm just going to present some pictures of the lovely stuff you can buy here in markets and supermarkets.
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Courrier des lecteurs

CHRONIQUES FERRET-CAPIENNES : UN 15 AOUT PAR BEAU-FIXE.

Ils sont venus ! Ils sont tous là ! Enfin, un an bientôt qu’on les attendait : les touristes du mois d’Août et les «pipoles» qu’ils viennent voir.
Parce qu’il faut vous dire, les touristes c’est comme les huitres : il y en a de toutes sortes.

Si vous venez au Cap Ferret vous ne pouvez pas l’ignorer il y a celles du bassin et celles «d’arguin» et puis plein de tailles différentes, plus elles sont grosses plus leur «numéro» diminue (N°3 c’est plus gros que 2 par exemple) et leur prix augmente : le marketing c’est le « choix » et le prix la sélection.

Les «pipoles» c’est pareil, plus la cylindrée de leur voiture est grosse, plus ils sont ici chez eux ? Si leur modèle le permet, Hummer ou Ferrari par exemple, ils peuvent même stationner dans le virage en face de «Côté sable» et si tout le stationnement interdit y est déjà complet, abandonner leur véhicule - moteur en marche et porte ouverte (pour montrer qu’ils vont revenir bientôt) – devant chez « Frédélian » le temps de faire la queue parce que - malheureusement – d’autres « pipoles » sont arrivés avant eux !

Mais ils ne risquent rien, les gens d’ici savent respecter les signes extérieurs de richesse ; ils ne sont pas les descendants de générations de naufrageurs pour rien : comme le résume le Maire aux assemblées de « résidents » : ce n’est 6 que semaines à passer.

Six semaines pour en vivre ensuite une année, ça vaux de faire quelques efforts, car c’est vrai que vivre ici à l’Année, ça se mérite.
Avoir un endroit paradisiaque, tel que «la presqu’île du bonheur» pratiquement rien qu’à soi, surtout du 11 novembre à fin février : quel pied !

Bien sûr il faut être un peu sauvage et apprécier la solitude : Mais qui n’a pas pris son vieux vélo, son ciré et ses bottes en caoutchouc pour aller jusqu’à la poste dans un petit crachin de mi-janvier venteux sous un ciel désespérément gris ne peut pas savoir.

Moi, ça ne me traumatise pas, à l’origine je suis un chti, alors le ciel gris !
N’empêche, il n’y a pas un chat dehors sauf, parfois, un couple de gens âgés tout emmitouflés qui s’aère un moment : le plus valide pousse la fauteuil de l’autre ou s’ils le peuvent encore brinquebalent tous les deux côte à côte, précautionneusement, à la vitesse que permet le déambulateur du compagnon.
Une fois arrivé à la poste (avec l’annexe de la mairie et l’école, il n’y a que ça d’ouvert l’après-midi, et pour combien de temps encore ?) vous êtes toujours bien accueilli car les « usagers » se font rares hors-saison et la préposée s’ennuie : on parle du temps qu’il fait et du temps qui passe…pour lui soutenir le moral je lui annonce pour bientôt, vu leur cadence, l’arrivée des deux vieux qui me suivent certainement pour faire un retrait sur leur CCP : nul doute qu’ils viennent là, je ne les imagine pas monter au phare, à moins qu’une démarche à la Mairie ne soit leur raison de braver la tempête.

On serait en banlieue je me mettrai en embuscade pour les bousculer avec mon vélo et leur piquer leur sac à la sortie de la poste ! Enfin un fait d’hiver !


Mais qu’est-ce que je ferai de leur quelques euros : il n’y a pas un magasin d’ouvert !
Et puis je me ferai certainement serrer : tout le monde connaît tout le monde ici et même si on me parle peu je suis fatalement repéré.

C’est pour ça aussi que j’aime l’été : retrouver l’anonymat.
Je m’installe souvent sur un banc face au bassin près de la pharmacie et j’observe avec bonhommie les touristes fraîchement débarqués de la pinasse (Oups ! Excusez même l’UBA les appellent des Vedettes ! Elles ne doivent donc pas être faites en pin).

Ils viennent voir s’il y a de la plage ? Ils auraient pu le repérer depuis le ponton mais non ; et si c’est marée basse ? Puis regardant plus loin s’interrogent mutuellement : «Tu crois que ce sont des parcs à huitres ? », et, «Il y en a dedans actuellement ?».
C’est alors que j’interviens dans leur conversation ou que je leur répond s’ils commencent leur question par «Vous êtes d’ici ?» et un instant – un instant seulement - je me sens intégré, mais je n’ignore rien de ma duplicité : seuls les touristes me croient d’ici ! Les autres, les originaires : ils savent que je suis un ancien « estivant ».

Il y a même, dans ce flux cadencé de béotiens, certains qui râlent parce que la marée est trop haute ou trop basse.
J’imagine que nombre d’entre eux, s’ils savaient les trafics de sables qui se pratiquent au Ferret en avant-saison, souhaiteraient qu’en plus d’engraisser les plages (et les entreprises de BTP) en ramenant le sable du mimbeau vers le débarcadère chaque année (même les plages ici sont trafiquées !) on veille aussi à retenir de l’eau pour qu’ils puissent se baigner tout le temps !

Je vous parle des touristes piétons, les « pipoles », eux, ont leur piscine ou même leur plage privée en eau profonde protégée par une digue et parfois même un arrête municipal de «danger» qui interrompt le fameux « chemin du littoral » qui doit, d’ailleurs, si j’ai bien observé la côte, s’être noyé du côté de piraillan.

Les touristes «agréés», ceux à qui on donne un plan précis quand ils débarquent avec trois destinations possibles : l’Océan plage de l’Horizon-baraques à frites et CRS et hop dans le petit train, le Village des pêcheurs authenticité et dégustations ou le Phare et son escalade virile.

A pieds ou à vélo, avec, sur le chemin des stations aux adresses des étapes mercantiles où dépenser utilement leur pécule des vacances avant de revenir, essorés, faire la queue au bout du bout de la jetée pour la vedette du soir.

C’est curieux d’ailleurs que l’on n’ait encore rien installé pour dépenser encore au bout de ce débarcadère comme l’ont fait les anglais à Brighton ou les américains à « Brooklin by the sea » ? Pourtant la « Villa Algérienne », que tous regrettent, avait été un Casino autrefois avec son débarcadère privé…il y a donc un précédent et, peut-être, une nouvelle piste pour bétonneurs sans problème de foncier avec du boulot local pour nos jeunes : voilà un projet porteur en toute saison, sinon à quoi ça servirait d’avoir tous ces pipôles sur place pour seulement l’été ?

Personnellement je fais de ce mix Touristes-Pipoles du mois d’aout un usage particulier et assez immodéré, en effet si tous les résidents permanents – comme moi – savent que le Cap c’est « le trou du C.. » du monde en hiver, nous sommes nombreux, néanmoins à avoir eu, dans une autre vie dans de grandes villes, des «réseaux» tels que seuls les français savent les pratiquer utilement quand ce n’était pas des «confréries» et autres «fraternités» donc au final plein de gens que nous n’envisageons guère de revoir !

Aussi le choix d’une presqu’île n’est pas un hasard (après c’est l’île aux oiseaux – snob mais rustique et surtout risque de coup de fusil ! peut-être même littéralement pour certains d’entre nous !), car on ne « passe » pas au Ferret, on y vient – exprès !

Misanthropie, facilité, goût de la solitude voire misogynie ou divorce bien des raisons et certainement d’autres encore plus épicuriennes qui nous mènent ici car quand on inventorie le contenu de nos poubelles, le Cap Ferret détient le record du tour du bassin pour la consommation d’alcool par habitant l’été !

Il y a donc ici de nombreux adeptes de la fête, parents ou enfants ?
Non, parents + enfants, ensemble ou séparément, mais toujours avec les copains.
Une seule différence : nos enfants – ces rebelles plutôt friqués – ne font pas usage du tri sélectif et balancent les bouteilles de Vodka et de Téquila là ou se tenait la « Teuf ! ».

Donc ce que j’aime au mois d’août c’est ce dont je suis privé tout le reste de l’année et que j’hésite à aller chercher à Mérignac et Bordeaux : des embouteillages et de l’incivilité.
J’en fais le plein sur place pour m’ôter toute envie de retourner en inter-saison à la vie estampillée «civilisée».

Ainsi, chaque jour quand je peux mais toujours le 15 août, je sors mon vieux break «fourre-tout» (matériel de mouillage, roues de remorque, affaires de bain, bidons d’essence, cordages et sandows divers) et je vais «m’embouteiller» à ma façon.

Je vais du boulevard de la plage (je recommande les alentours de l’église à la sortie de la messe quand les bons chrétiens s’invectivent) à la Place du marché (très bien le nouveau parking que sa nouvelle configuration rend d’usage quasi-impossible à la plupart des estivants qui, du coup, vont s’ensabler profondément dans les trottoirs environnants) et arriver pour finir dans le cul-de-sac du village des pêcheurs à la porte des 44 hectares dont j’esquive l’Aventure cahoteuse dans des fondrières savamment entretenues.

Coups de klaxon (j’avais oublié que ça existait), invectives aux ronds-points suite aux blocages têtus entre un 33 (j’étais là avant !) et un 75 (la route est à tout le monde !) et nouveaux coups de klaxons de ceux qui attendent et – bien qu’en vacances – ont des «choses à faire» et sont «pressés», le tout cerné par des cyclistes hilares et virevoltants autour de grappes de piétons égarés et danger de collision permanent.

Pas un policier municipal – ils sont eux-même bloqués sur la Nationale en route pour le Cap et veillent – à 5kms/heure – que les 50 imposés ne soient pas dépassés !

Après une petite heure de civilisation passée au soleil et sans climatisation, je m’échappe et reviens à ma page préférée, l’eau est juste arrivée au pied de l’escalier (j’ai appris à lire l’annuaire des marées et à l’ajuster au micro-climat du Cap), elle est claire et transparente mais surtout à bonne température.


La marée montante en recouvrant le sable a chassé les bronzés avachis et leurs enfants qui pataugeaient bruyamment dans « mon coin de baignade ».
C’est l’étale et il n’y a pratiquement pas de courant, je nage d’une brasse tranquille vers mon annexe, j’y fais une pause et je regarde la plage ; une sensation de bien-être m’envahit, comment dit-on bonheur en Ferret-Capien ?

Mais que fait ce type qui marche dans l’eau en short avec sa canne à pêche et son attirail? Qu’espère t-il ferrer ici en faisant ses lancers ? Des trogues ?
Et bientôt certainement un nageur : moi, peut-être si je le laisse faire.

Je sais à cet instant que Sartre avait bien raison : « l’Enfer c’est les autres ».

Miguel De Vilaverde.©
16-08-2012.
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Sécurité routière Avenue de Bordeaux dans le village du Cap Ferret

Lors de notre assemblée générale du 10 aout dernier ,le problème de la sécurité routière de l'avenue de Bordeaux avait été évoqué auprès du Maire de notre commune.
 Pour ce faire, il avait mandaté Mr Brauge , conseiller municipal spécial du Cap Ferret, pour recevoir une délégation de riverains de cette avenue.
 La rencontre a eu lieu le 20 Aout à la mairie annexe, la lettre ci dessous lui a été remise: 


Sécurité des piétons, avec ou sans voitures d’enfants, personnes à mobilité réduite Avenue de Bordeaux au Cap Ferret

1 Les constats
Les déplacements sur les trottoirs de l’avenue de Bordeaux présentent régulièrement des situations de danger pour ceux qui les empruntent et cela en haute (juillet-aout) comme en basse saison.
A cela, deux raisons principales :
  • La vitesse parfois excessive (supérieure à 50 km/h) ; l’hiver ce sont souvent des véhicules de professionnels camions et camionnettes qui roulent au-delà des limites (“à tombeau ouvert “), l’été des vacanciers, tout à l’enthousiasme de leurs vacances se sentent libérés de toutes contraintes (l’alcool aidant parfois !).
  • L’occupation anarchique des trottoirs ne laissant pas de passage de déplacement soit par un stationnement des véhicules , soit par une occupation physique (dénivelés d’entrée de propriété, entreposage de matériaux, machines,…) sans tenir compte de condition de sécurité pour les piétons( visibilité pour les voitures circulant) ; Cette occupation excessive des trottoirs contraint les piétons (avec poussette, poussant un vélo, tirant un caddie de courses, tenant des enfants en bas âge par la main, poussant un fauteuil d’handicapé ,;…) à emprunter la chaussée. 
    2 Quelles solutions envisager ? 
    Rappel :Pour l’avoir déjà évoqué avec Monsieur le Maire, l’avenue de Bordeaux n’étant pas une voirie municipale mais départementale, celui-ci nous a indiqué qu’il lui était difficile d’intervenir directement sur cette dernière. Cependant, le premier magistrat de la ville a les moyens de faire pression sur les services du département, surtout si leur responsabilité en matière de sécurité est également engagée.
Le danger encourus par les personnes se situe bien sur le territoire de la commune dont il a la responsabilité. L’accès aux handicapés nécessite de leur permettre de pouvoir se déplacer sans danger.
Des propositions :
  1. Dans un premier temps, ne nécessitant pas d’investissements lourds autre que communication et information règlementaire :
  • Rappel des limitations de vitesses et davantage de contrôles de vitesse inopinés (radar mobile) – qui ont une vertu pédagogique !!! – il semble d’ailleurs qu’il y ait davantage d’excès de vitesse l’hiver que l’été (en proportion du nombre de véhicules circulant).
  • Limiter pendant la haute saison les secteurs les plus accidentogenes par l’ajout temporaire de panneaux de limitation 30 (comme avenue du Sémaphore ou avenue de la Marne).
  • Rappeler aux riverains (par tractage dans les boîtes aux lettres et articles dans la revue municipale) disposant de places de stationnement dans leur propriété (obligatoires dans les permis de construire) de garer leur véhicule à l’intérieur plutôt que sur le domaine public.
  • Mettre en place un stationnement règlementé sur les trottoirs :
    • Lorsque ceux-ci sont assez larges, garer le véhicule en limite de chaussée ou près des clôtures pour ménager un passage (largeur un mètre – quelle est la règlementation pour handicapés ?).
    • Sinon ne se garer que d’un côté de l’avenue (stationnement alterné ou non )
  • faire supprimer les “embûches“ dénivelés dangereux,
  • n’autoriser l’entreposage temporaire sur les dits trottoirs que lorsqu’ils sont nécessaires, et en obligeant à mettre en place un dispositif de passage sécurisé pour les piétons (par exemple : règlementation travaux et occupation de l’espace public).
Ces actions de communication seront à renouveler régulièrement – rappels de sensibilisation à la sécurité –
  1. Dans un second temps, si les mesures précédentes sont insuffisantes, réglementer davantage :
    • Limitation de vitesses sur les tronçons les plus dangereux par dispositifs physiques – chicanes, dos d’âne,
    • Interdiction de stationner sur certaines parties de trottoirs (l’arrêt - dépose restant autorisé.
  1. Aménagements d’amélioration :
  • de déplacements doux par création de pistes cyclable mixte piétons vélos comme il s’en est créé dernièrement.
    L’aménagement de pistes cyclables complémentaires dans les parties urbanisées du Cap ferret se révèle maintenant plus nécessaire :
      • par exemple entre le bourg du Canon et la piste à hauteur de la dune de l’Herbe,
      • établir une liaison cyclable au niveau des “Sables d’or“ pour indiquer et permettre aux cyclistes d’aller sur la piste en forêt.
    • Mise en place de séparateurs physiques sur les trottoirs (poteaux comme rue des goélands) pour les piétons.
F. TROLY 101 ter avenue de Bordeaux 06 07 68 40 60 ; mcarolinetroly@voila.fr
Danielle et Joël Mellet 80 avenue de Bordeaux 06 15 74 95 72 ; joelmellet@orange.fr
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Around the world in eighty dishes..

Well, it won't be eighty dishes and we're not quite off around the world, but quite a few countries--Russia, Poland, France, UK and Singapore. Will try and post some culinary titbits, restaurants, markets, from each! Right now in Sydney Airport, looking at the array of food on offer, better than it used to be, but still not very inspiring--ordinary shopping-mall food-court stuff, really. But at least cheaper than it used to be or at least a bit more in line with ordinary prices out in the 'real world.' (Isn't it funny incidentally how airports, like hospitals, feel very much like they're not quite in the ordinary world--places of transition I suppose.)
A bientot!
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Rectificatif succinct de l'article de Sud Ouest du 13 aout 2012 suite à l'Assemblée Générale du 10 aout 2012

Notre association « Protection et  Aménagement de Lège Cap Ferret »qui fête cette année ses quarante ans d'existence,souhaite réagir contre les inexactitudes,les erreurs et les omissions du compte-rendu de l'Assemblée générale du 10 aout paru dans le Sud-ouest du lundi 13 aout sous la signature de Annie Peyras.
D'abord sur la fréquentation :
 La salle de la Forestière était installée à grande jauge de 400 places.Quelques dizaines de chaises étaient vides.La salle était donc quasiment pleine,comme chaque année et non pas à moitié vide .En cette journée de canicule ,venir et participer à plus de 3 heures de débat est un exploit,dont acte.
 A la tribune,contrairement à ce qui est dit,le Maire d'Arés n'étaient pas présent ni des représentants de La Teste.Par contre, JP;Hamon, Sous -Préfet, Michel Sammarcelli, Maire de notre commune et Président du SIBA étaient là avec  Michel Daverat, vice-président de la Région représentant Alain Rousset et Christian Gaubert, vice-président du Conseil Général. Étaient présents aussi Jacques Storelli de l'Association du Pyla et Françoise Branger de BAE ,tous deux membres de la CEBA.
 En début de séance,une plante a été remise à Françoise GLOTIN,présidente du Comité de Vigilance en 1970, qui donna naissance à l'Association en 1972.
 Le rapport financier dégage une large excédent ,preuve de la confiance renouvelée de nos adhérents.
 Le rapport moral a permis d'évoquer les grands chantiers en cours :
 Le Parc Naturel Marin (l'action collective avec les professionnels de la mer et les plaisanciers nous permet d'entrevoir un prochain décret de création conforme à nos vœux),
 le SCOT le projet arrêté difficilement par les Maires n'est pas encore voté.Il va y avoir une Enquête Publique.On nous promet 100 000 habitants de plus d'ici 20 ans,
 L'entretien des Parcs ostréicoles qui est en bonne voie malgré l'énormité du chantier grâce à une convention Administration maritime  et la Commission Régionale de l’Ostréiculture),
 La qualité des eaux  suite à l'accident Smurfit. M.le Préfet fit un point précis de la situation de l'usine Smurfit.Les travaux de réhabilitation se poursuivent .L'usine ne démarrera pas avant que les travaux de sécurité soient et que les services de l'Etat -DREAL- aient donné leur accord par un nouvel arrêté préfectoral,sans doute autour du 20 aout.
 7 questions ont été posées à Michel Sammarcelli:
 -le périmètre de risques de La pointe et sur les cartes d'application du Périmètre de submersion qui rendrait inconstructible une partie de la Presqu'ile, la gestion du Domaine Public Maritime ,
 -le devenir du Mimbeau,
 -la politique de l'ONF et le projet de Foret d'exception de le Foret du Truc Vert,
- les pistes cyclables(cette année ,c'est le triomphe du vélo sur la voiture),
 -les problèmes de civilité.
 Michel Sammarcelli tout ces points avec clarté se qui permit de réduire à quelques minutes les questions habituelles de voisinage qui sont le lot obligé mais nécessaire de la participation.
 A la fin de notre assemblée générale , le prix du Capitaine de Vaisseau Pierre Mazodier a été remis à l'Association SONS d'AVRIL en la personne de sa présidente Hélène BERGER,initiatrice d'un concours international de piano en mars
 Lège Cap Ferret était l'une des villes sélectionnées en Europe-la seule avec Paris en France- et surtout du Festival international de musique  qui s'est tenu du 6 au 13 juillet avec un incroyable succès.
Le prix a contribué à l'achat d'un piano de concert qui est à demeure dans la salle de La forestière à la disposition de chacun.
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